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C'est à l'âme de Cyrano que je voulais dédier ce poème. Mais puisqu'elle a passé en vous, Coquelin, c'est à vous que je le dédie. Et c'est ainsi que non content d'avoir marqué le rôle, à tel point que les comédiens d'aujourd'hui se positionnent encore par rapport à lui, en suivant la Tradition - ou en s'y opposant - le nom de Coquelin traverse les décennies en tête de chacune des rééditions de l'oeuvre d'Edmond Rostand. On trouvera ici quelques-uns des faits marquants de sa vie, et de sa relation avec celui qu'il appelait Mon poète.
Constant Coquelin (1841 - 1909)
Les Coquelins, trois générations de comédiens Un livre album de Benoît Noël
Rostand et Coquelin se rencontrent
Les Non merci !
La 1ère représentation de Cyrano
A la Une du Petit Parisien
La 100è représentation - Photos de Nadar
Coquelin en tournée, New-York et Londres A Londres avec Maria Legault, à New-York avec la grande Sarah
« Le texte, monsieur, le texte » ! On aime Coquelin, mais on ne saurait lui pardonner de couper des vers...
Sonnet à Coquelin
Au Théâtre de la Gaîté aussi la critique d'Edouard Gauthier
Coquelin au Brésil 1901, 1905 et 1907
La recette de Cyrano La Porte Saint-Martin et Cyrano en chiffres
"Ce que je pense d'Edmond Rostand"
La défense des comédiens
La maison de retraite de Pont-aux-Dames
"Le Verger", poème d'Edmond Rostand "Pour mon ami Coquelin et la Maison des Comédiens"
Les funérailles
L'hommage posthume
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